Hong Kong
1996 92 mins
V.O. cantonaise
Sous-titres : anglais/chinois
“A jovial and hearty Asian cinema classic... a reminder why Stephen Chow is still a celebrated comedy legend to this day”
– Lee B. Golden III, FILM COMBAT SYNDICATE “Outrageous, witty and heartfelt”
- Phil Mills, FAR EAST FILMS Stephen Chow interprète le rôle de Maître Chow, un chef cuisinier à la renommée presque aussi démesurée que son arrogance naturelle et sa propension à se considérer lui-même comme un dieu. En sa qualité de juge dans une compétition culinaire, il a tendance à attribuer des zéros à n’importe quel concurrent pour les erreurs les plus infimes, ou simplement parce que la personne en question n’est pas très belle! Maître Chow se croit invincible et se croit inattaquable, jusqu’au jour où un rival réduit sa réputation en miettes. Alors, c’est la déchéance. Dépouillé de son titre de Maître et humilié publiquement, Chow trouve refuge dans les bas-fonds de Hong Kong, où il fera bientôt la connaissance d’une admiratrice aux idées ambitieuses, Twin Blade Turkey (Karen Mok). Ensemble, ils inventeront un nouveau concept gastronomique baptisé « Pissing Beef Balls » — un mets dangereusement savoureux, qui provoque des hallucinations et peut faire rebondir les gens comme des ballons! Chow se rendra également au monastère Shaolin pour y suivre un entraînement intensif, puisqu’il devra affronter son adversaire, tôt ou tard, afin de reconquérir sa gloire d’antan.
Fusion parfaite d’art culinaire, de kung-fu et d’humour délirant,
GOD OF COOKERY est un classique mettant en vedette et réalisé par le roi de la comédie, Stephen Chow (
SHAOLIN SOCCER,
KUNG FU HUSTLE). À sa sortie, en 1996, ce chef-d’œuvre a impressionné l’Occident au point où nous sommes passés bien près d’avoir un remake avec Jim Carrey, le roi de la comédie de ce côté-ci du globe. Durant les années 1990, Chow a régné en tête du box-office à Hong Kong et dans certaines régions de l’Asie, surpassant même parfois Jackie Chan et Chow Yun-Fat. Présenté ici en 35mm, cet appétissant menu en cinq services inclut une satire frénétique, un humour burlesque, des moments très sombres, un accompagnement de folie pure, et, pour le dessert, un commentaire social onctueux et flambé. – Traduction:
David Pellerin